Non catégorisé

Vendredi 21 août 5 21 /08 /Août 10:27

017A3

Samedi, 10h00 du matin, Sonia se prépare pour aller faire un peu de shopping. Patric est absent en raison de son boulot comme la plus part des samedis. Il est vrai que ce n’est pas toujours la journée idéale pour faire les boutiques car il y a du monde mais il y a des moments ou elle aime être dans la cohue des courses ménagère. C’est toujours moins désagréable de se retrouver dans ce genre de masse humaine quand on n’a justement pas vraiment de courses à faire. Ce genre d’achat, elle le fait souvent pendant sa pause de midi ou pendant un moment libre lors d’une journée de travail plus calme. Aujourd’hui, ce sera vraiment balade et achat éventuel d’un truc ou l’autre qui lui plait. Ce qui lui plait aussi lors de ces journées, c’est le regard des hommes que posent les hommes qui accompagnent leur femme posent sur elle. Elle aime entendre des bribes de conversations pendant les quelles leur chère et tendre épouse leur reproche de la mater. Elle entend même parfois des mots assez grossiers ou des insultes envers elle et paradoxalement, ça l’excitent beaucoup. Elle ne se prive d’ailleurs pas pour mettre des tenues très sexy pour ce genre de sortie diurne. Sonia avait opté pour une petite robe blanche très courte et moulante zippée sur le devant et des chaussures à très haut talon. Elle savait que dans cette tenue, elle ne laisserait probablement aucun mari indifférent.
C’est au moment ou elle s’apprête à sortir que la sonnette de la porte d’entrée retentit. Elle va ouvrir et devant elle se tient Jean, le fils de Pierre, un ami de longue date de Sonia. Le gamin à 19 ans, il est grand blond, de beaux yeux bleu, sportif, bien bâtit, en quelque sorte, on peu le qualifier de beau mec.

  • -  « Jean, comment vas-tu ? Que me vaut l’honneur de ta visite ? »

  • -  « Bonjour, je viens voir si mon père est ici, il ne répond pas sur son portable. »

  • -  « Non il n’est pas là mais entre, je t’en prie. »

    Le jeune homme détaille la tenue de son hôte avant d’entrer. Il n’est pas insensible à ce style de femme mais en fait, qui le serait. Il entre enfin et Sonia le dirige vers le salon ou elle lui montre le grand fauteuil devant la porte fenêtre pour qu’il s’y installe. Il à l’air assez tendu, son jeune âge le rend encore très timide et c’est un peu normal, il faut l’avouer. Pour le détendre la jeune femme lui parle de banalités de la vie et de ces études. En discutant, Sonia s’installe juste en face de lui, bien installée dans le fond d’un fauteuil et elle croise ses jambes bien hautes. Elle sait que d’où il se trouve, il doit quasiment pouvoir mater son cul tellement sa robe est courte. Jean qui est vêtu d’un training blanc explique à l’amie de son père qu’il devait le retrouver pour faire un tennis. Pendant qu’il lui expliquait cela, Sonia remarque que le jeune homme pose régulièrement ces yeux sur ses cuisses largement offerte. Elle pose également son regard sur la partie intime de l’anatomie de son invité surprise et constate une belle bosse sous son pantalon de sport qu’il a beaucoup de mal a dissimuler.

  • -  « Veux-tu boire quelque chose ? »

  • -  « Heu oui, avec plaisir. »
    La maitresse de maison de lève pour aller à la cuisine chercher un verre et une bouteille de coca cola. Quand elle revient, elle pose le verre sur la table basse et se penche très fort en avant pour vider le liquide à l’intérieur. Jean en profite pour jeter un œil dans le décolleté de Sonia et ne peut plus s’en détacher. Il voir presque entièrement les seins de la jeune femme nu sous sa robe blanche des plus sexy. Il faut dire qu’un zip se règle comme on veut et elle n’avait pas fait les choses à moitié, l’ouverture était à la limite indécente.

 

- « Alors jeune homme, on mate ? »
Le garçon reste bouche bée devant l’audace de cette femme. Il est pétrifié par sa propre timidité et ne sait quoi répondre. Il était pris la main dans le sac et cela le mettait mal à l’aise. Devant le malaise du jeune homme, Sonia décide d’aller encore plus loin alors en montrant son entre jambe, elle lui dit :

- « Et il me semble qu’on bande aussi ? »
Sonia voyait juste, il bandait comme un âne. Il avait aussi plein de mots dans la tête, des mots plus cochons et plus grossiers les uns que les autres. La jeune femme voulait en voir plus, en toucher plus alors elle s’est accroupie devant Jean et lui a abaissé son training d’un coup sec. Il n’a pas émis la moindre résistance et elle a découvert une belle queue tendue pointant vers le ciel. Sonia a posé sa main dessus et l’a caressée en regardant l’homme dans les yeux. Il la laissait faire en la regardant le branler et lui palper les couilles sans rien dire. La maitresse de maison s’est alors penchée sur cette tige pour la prendre dans sa bouche et la sucer lentement. C’est a cet instant précis qu’il est sortit de la bouche de son invité un premier râle de plaisir. Sonia, avide de ce genre de chose le suce, le lèche en lui tripotant les burnes sans arrêt. Elle savait qu’il ne pourrait pas subir ce traitement bien longtemps avant de jouir mais elle voulait se faire mettre. Elle savait aussi que la timidité de ce jeune homme l’empêcherait de prendre toute forme d’initiative alors c’est elle qui devait prendre les devant.
Elle s’arrête de le sucer, se redresse et monte elle-même dessus. Elle place sa queue à l’entrée de son sexe et redescend lentement pour sentir cette queue entrer tout au fond d’elle-même. Elle entame alors un mouvement de bas en haut de plus en plus rapide. La bite du jeune homme entre et ressort de cette grotte d’amour avec une grande facilité. Jean regardait les seins de la femme se balancer au rythme des pénétrations malgré le fait qu’il soit toujours dans la robe moulante. Elle ne s’était même pas déshabillée pour se faire baisée. La maitresse de maison regarde le visage du garçon qui se remplissait de jouissance. Elle comprend qu’il ne va pas tarder à jouir alors elle s’adresse à lui :

- « Ou veux tu te vider les couilles ? »
Jean était encore plus excité en entendent cette femme lui parler vulgairement mais sa timidité encore une fois l’empêchait de dire ce qu’il pensait vraiment.

- « Alors dit moi ou tu veux te vider les couilles bordel ? »
Elle prononçait ces paroles en soufflant et en gémissant presque entre chaque syllabe. Lui ne répondait pas, il fermait les yeux de plaisir en gémissant de plus en plus fort. Sa respiration s’accélérait. Sonia sentait qu’il allait jouir alors elle se redresse en lui disant d’un ton excité :

- « Je veux que tu décharge sur la gueule. »
Sonia s’allonge alors sur le divan, le jeune homme se lève et vient se masturber juste au dessus de la figure de la jeune femme. Elle est la allongée, la bouche ouverte, la langue sortie, occupée a s’agiter avec les deux doigts qu’elle a fourrer dans sa chatte pour se faire jouir en attendant de se prendre le foutre de Jean sur la face et dans la bouche. Elle se lèche les lèvres en gémissant ce qui provoque chez le garçon une jouissance rapide. Des jets de sperme viennent s’étaler sur le visage de la maitresse de maison et dans sa bouche. Elle tourne la langue pour ramasser et avaler le plus qu’elle peut. En même temps elle jouit elle aussi dans un cri de plaisir sensuel et cochon.
Quand Sonia revient dans le salon après s’être nettoyer le visage, le jeune homme n’est plus la, il est partit certainement plus léger que quand il est arrivé pensa t elle.
Elle se demande aussi s’il en parlera à son père et elle sait que si c’est le cas, celui-ci voudra certainement le même traitement que son fils. Ce qu’elle sait par contre, c’est qu’elle n’en parlera pas encore à son mari et pourtant elle en a de plus en plus envie car elle pense que ca lui plairait mais elle hésite encore. 

Par insultez-ma-femme
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Jeudi 20 août 4 20 /08 /Août 11:13

019A

C'est ce que pense aussi le propriétaire du magasin dans le quel a été prise cette photo de moi

Par insultez-ma-femme
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Mardi 18 août 2 18 /08 /Août 11:26

826250A Cette photo de moi a été prise dans un bar ou j'allais prendre un verre. Qu'en pensez vous? commentez sans retenue

Par insultez-ma-femme - Communauté : BaiseMoi Une Amatrice
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Lundi 17 août 1 17 /08 /Août 10:08

018

C'est ce que j'aime faire avec mon voisin....

Par insultez-ma-femme - Communauté : les soubrettes soumises
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Dimanche 16 août 7 16 /08 /Août 10:06

005

Patric, le mari de Sonia avait une vieille montre qu’il avait héritée de son grand père. Cette montre ne fonctionnait plus et lorsqu’elle en avait parlé au boulot, un collègue de Sonia lui avait dit que son frère était horloger. Il lui avait aussi dit qu’il le voyait le week-end suivant et que si elle le voulait, elle pouvait lui apporter la montre, qu’il la remettrait à son frère lorsqu’il se verrait.

Marc entre dans le bureau de Sonia pour lui annoncer que la montre est réparée et qu’elle peut la récupérer quand elle le veut chez son frère. Marc en profite pour détailler la tenue de sa collègue qui se compose d’une jupe très courte, de chaussure a haut talon et d’un chemisier largement ouvert qui de certains angles doit dévoiler le galbe de ces seins. Avant de quitter le bureau, il lui donne l’adresse de la bijouterie et le numéro de téléphone.

A peine est il sortit que Sonia prend le combiné pour appeler le bijoutier et lui demander si elle pouvait passer chercher la montre juste avant midi. L’homme à l’autre bout du fil lui répond très aimablement que cela ne pausait aucun problème et qu’il l’attendrait.
Il est 11h30 quand Sonia quitte son bureau pour aller chercher la montre de son mari. Elle monte dans sa voiture et programme l’adresse exacte sur le GPS pour ne pas a devoir chercher et par la même occasion faire attendre le commerçant outre mesure.

Une petite demi-heure plus tard elle se trouve devant une petite bijouterie dans un immeuble ancien. Deux vitrines de taille moyenne sont séparées par une porte d’entrée en verre dépolis. Les bijoux et les montres exposées ont l’air d’être de très bonne qualité. Après s’être attardé sur la vitrine deux petites minutes, elle entre dans la boutique. Dès l’ouverture de la porte une sonnerie retentit l’intérieur et s’arrête dès sa fermeture. L’intérieur de la bijouterie est composé de grande vitrine bien éclairée sur la droite, parfaitement achalandées et décorée avec goût. Sur la gauche il y a un long comptoir en bois peint sur le quel sont disposé des présentoirs de bijoux Pandora, des boucles d’oreilles fantaisies et des bracelets de cuirs. Un homme d’une cinquantaine d’année regarde entrer Sonia en lui souriant. Arrivée devant lui, la cliente se présente en lui disant que c’est elle qui a téléphoné plutôt dans la journée. Il l’observe de la tête aux pieds avant de lui dire en quittant la pièce pour se diriger vers l’arrière de la boutique :

- « Mon frère m’a parlé de vous. »
Sonia se demandait ce que Marc avait bien pu lui raconter à son sujet alors quand il revient elle lui pose la question directement :

  • -  « Vous me dites que Marc vous a parlé de moi ? J’espère que c’est en bien ? »

  • -  « Evidement, ne vous inquiétez pas. »
    En répondant à sa cliente, le commerçant dépose la montre sur le comptoir. Elle l’admire car elle est plus belle que ce qu’elle avait imaginé. Elle était parfaitement nettoyée et brillait sous l’abondant éclairage de la boutique.

  • -  « Magnifique, vous avez fait de l’excellent travail. »

  • -  « Merci Madame, c’est vraiment une très belle montre vous savez. »

  • -  « J’aimerais quand même savoir ce que vôtre frère à bien pu raconter sur moi. »

  • -  « Il m’a dit que vous n’hésitiez pas à payer de vôtre personne. »

 

Il lui parle de la sorte sans la moindre gêne convaincu qu’il était de ne pas du tout choqué Sonia. De son côté, la femme n’était pas vraiment étonnée que Marc tienne ce genre de discourt car il la connaissait malgré tout depuis pas mal de temps. Elle se dit que s’il se fiait au discourt de son frère, le bijoutier s’attendait certainement à être payé avec une autre méthode que de l’argent. Le commerçant regardait dans le décolleté de sa cliente en attendant une réaction de sa part. Elle plonge ses yeux dans les siens et avec un regard des plus cochons, elle lui dit :

  • -  « Si tu as envie que je te suce la queue, tu n’as qu’as le dire. »

  • -  « Ho putain, il avait ainsi raison le frangin, alors, viens ici, viens sucer ma grosse

    queue »
    Le temps pour Sonia de faire le tour du comptoir et le type était déjà la queue raide à la main et les couilles sorties. Il avait une grosse bite bien épaisse comme elle les aime et une bonne paire de burnes bien grosses. En voyant cela, elle s’abaisse immédiatement et lui palpe les burnes avant de le branler doucement. Elle lui donne ensuite quelques coups de langues sur le gland avant de le prendre en bouche en lui palpant les couilles. Elle commence alors à le sucer goulument en faisant monter en elle une excitation qui la faisait baver de plaisir. Le mec regardait ces nibards qui ballotaient nu sous son chemisier profondément décolleté.

- « Merde, tu suce vraiment comme une pute. »
Voila exactement le discourt qui excite encore plus Sonia. Elle s’active de plus en plus sur le chibre de cet homme en lui touchant les couilles. Le type passait sa main dans les cheveux de la jeune femme. Ils savaient tout les deux que la jouissance ne tarderait certainement pas alors quand il la sent venir, le frère de marc poigne dans les cheveux de sa cliente pour lui foutre sa queue profondément dans sa gorge avant de se vider en elle en lui disant dans un râle de plaisir :

- « prend ça salope, avale pouffiasse. »
Sonia sent alors le sperme de ce mec se déversé en trois saccades dans le fond de sa gorge. Elle avale consciencieusement le liquide chaud qui se déverse et garde la bite de ce bijoutier bien au fond de sa bouche jusqu'à ce qu’elle se ramollisse. Il ne faut que quelques secondes pour que le sexe de l’homme ne soit redevenu d’une taille moins imposante. Elle se redresse, prend la montre sur le comptoir puis en faisant le tour de celui-ci, elle s’adresse au frère de Marc en lui disant :

  • -  « Je pense que tout est en ordre ? »

  • -  « Bien sur Madame, vous pouvez revenir pour des problèmes de montres quand vous

    voulez. »
    Le soir venu, Sonia rend la montre à son mari. Patric trouvait l’objet magnifique, et tout comme sa femme, il ne s’imaginait pas que cette montre pouvait être aussi belle alors il lui demande :

  • -  « Ca n’a pas couté trop chère cette réparation ? »

  • -  « Tu sais bien que c’est le frère d’un collègue, il m’a fait un excellent prix. » Elle sourit en lui répondant car elle a encore dans son esprit la manière dont l’avait traité l’horloger. Elle en était encore excitée et c’est son mari qui ce soir allait en profiter. 

Par insultez-ma-femme - Communauté : des photos de nos femmes
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