Dimanche 16 août 7 16 /08 /Août 10:06

005

Patric, le mari de Sonia avait une vieille montre qu’il avait héritée de son grand père. Cette montre ne fonctionnait plus et lorsqu’elle en avait parlé au boulot, un collègue de Sonia lui avait dit que son frère était horloger. Il lui avait aussi dit qu’il le voyait le week-end suivant et que si elle le voulait, elle pouvait lui apporter la montre, qu’il la remettrait à son frère lorsqu’il se verrait.

Marc entre dans le bureau de Sonia pour lui annoncer que la montre est réparée et qu’elle peut la récupérer quand elle le veut chez son frère. Marc en profite pour détailler la tenue de sa collègue qui se compose d’une jupe très courte, de chaussure a haut talon et d’un chemisier largement ouvert qui de certains angles doit dévoiler le galbe de ces seins. Avant de quitter le bureau, il lui donne l’adresse de la bijouterie et le numéro de téléphone.

A peine est il sortit que Sonia prend le combiné pour appeler le bijoutier et lui demander si elle pouvait passer chercher la montre juste avant midi. L’homme à l’autre bout du fil lui répond très aimablement que cela ne pausait aucun problème et qu’il l’attendrait.
Il est 11h30 quand Sonia quitte son bureau pour aller chercher la montre de son mari. Elle monte dans sa voiture et programme l’adresse exacte sur le GPS pour ne pas a devoir chercher et par la même occasion faire attendre le commerçant outre mesure.

Une petite demi-heure plus tard elle se trouve devant une petite bijouterie dans un immeuble ancien. Deux vitrines de taille moyenne sont séparées par une porte d’entrée en verre dépolis. Les bijoux et les montres exposées ont l’air d’être de très bonne qualité. Après s’être attardé sur la vitrine deux petites minutes, elle entre dans la boutique. Dès l’ouverture de la porte une sonnerie retentit l’intérieur et s’arrête dès sa fermeture. L’intérieur de la bijouterie est composé de grande vitrine bien éclairée sur la droite, parfaitement achalandées et décorée avec goût. Sur la gauche il y a un long comptoir en bois peint sur le quel sont disposé des présentoirs de bijoux Pandora, des boucles d’oreilles fantaisies et des bracelets de cuirs. Un homme d’une cinquantaine d’année regarde entrer Sonia en lui souriant. Arrivée devant lui, la cliente se présente en lui disant que c’est elle qui a téléphoné plutôt dans la journée. Il l’observe de la tête aux pieds avant de lui dire en quittant la pièce pour se diriger vers l’arrière de la boutique :

- « Mon frère m’a parlé de vous. »
Sonia se demandait ce que Marc avait bien pu lui raconter à son sujet alors quand il revient elle lui pose la question directement :

  • -  « Vous me dites que Marc vous a parlé de moi ? J’espère que c’est en bien ? »

  • -  « Evidement, ne vous inquiétez pas. »
    En répondant à sa cliente, le commerçant dépose la montre sur le comptoir. Elle l’admire car elle est plus belle que ce qu’elle avait imaginé. Elle était parfaitement nettoyée et brillait sous l’abondant éclairage de la boutique.

  • -  « Magnifique, vous avez fait de l’excellent travail. »

  • -  « Merci Madame, c’est vraiment une très belle montre vous savez. »

  • -  « J’aimerais quand même savoir ce que vôtre frère à bien pu raconter sur moi. »

  • -  « Il m’a dit que vous n’hésitiez pas à payer de vôtre personne. »

 

Il lui parle de la sorte sans la moindre gêne convaincu qu’il était de ne pas du tout choqué Sonia. De son côté, la femme n’était pas vraiment étonnée que Marc tienne ce genre de discourt car il la connaissait malgré tout depuis pas mal de temps. Elle se dit que s’il se fiait au discourt de son frère, le bijoutier s’attendait certainement à être payé avec une autre méthode que de l’argent. Le commerçant regardait dans le décolleté de sa cliente en attendant une réaction de sa part. Elle plonge ses yeux dans les siens et avec un regard des plus cochons, elle lui dit :

  • -  « Si tu as envie que je te suce la queue, tu n’as qu’as le dire. »

  • -  « Ho putain, il avait ainsi raison le frangin, alors, viens ici, viens sucer ma grosse

    queue »
    Le temps pour Sonia de faire le tour du comptoir et le type était déjà la queue raide à la main et les couilles sorties. Il avait une grosse bite bien épaisse comme elle les aime et une bonne paire de burnes bien grosses. En voyant cela, elle s’abaisse immédiatement et lui palpe les burnes avant de le branler doucement. Elle lui donne ensuite quelques coups de langues sur le gland avant de le prendre en bouche en lui palpant les couilles. Elle commence alors à le sucer goulument en faisant monter en elle une excitation qui la faisait baver de plaisir. Le mec regardait ces nibards qui ballotaient nu sous son chemisier profondément décolleté.

- « Merde, tu suce vraiment comme une pute. »
Voila exactement le discourt qui excite encore plus Sonia. Elle s’active de plus en plus sur le chibre de cet homme en lui touchant les couilles. Le type passait sa main dans les cheveux de la jeune femme. Ils savaient tout les deux que la jouissance ne tarderait certainement pas alors quand il la sent venir, le frère de marc poigne dans les cheveux de sa cliente pour lui foutre sa queue profondément dans sa gorge avant de se vider en elle en lui disant dans un râle de plaisir :

- « prend ça salope, avale pouffiasse. »
Sonia sent alors le sperme de ce mec se déversé en trois saccades dans le fond de sa gorge. Elle avale consciencieusement le liquide chaud qui se déverse et garde la bite de ce bijoutier bien au fond de sa bouche jusqu'à ce qu’elle se ramollisse. Il ne faut que quelques secondes pour que le sexe de l’homme ne soit redevenu d’une taille moins imposante. Elle se redresse, prend la montre sur le comptoir puis en faisant le tour de celui-ci, elle s’adresse au frère de Marc en lui disant :

  • -  « Je pense que tout est en ordre ? »

  • -  « Bien sur Madame, vous pouvez revenir pour des problèmes de montres quand vous

    voulez. »
    Le soir venu, Sonia rend la montre à son mari. Patric trouvait l’objet magnifique, et tout comme sa femme, il ne s’imaginait pas que cette montre pouvait être aussi belle alors il lui demande :

  • -  « Ca n’a pas couté trop chère cette réparation ? »

  • -  « Tu sais bien que c’est le frère d’un collègue, il m’a fait un excellent prix. » Elle sourit en lui répondant car elle a encore dans son esprit la manière dont l’avait traité l’horloger. Elle en était encore excitée et c’est son mari qui ce soir allait en profiter. 

Par insultez-ma-femme - Communauté : des photos de nos femmes
Ecrire un commentaire - Voir les 1 commentaires
Retour à l'accueil

Présentation

Créer un Blog

Recherche

Calendrier

Mai 2024
L M M J V S D
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
<< < > >>

Derniers Commentaires

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés