insultez-ma-femme

Sonia profite souvent de sa pause de midi qu’elle n’hésite pas à prolonger pour faire quelques courses en grande surface. Elle aime ce moment pour faire les achats ménagés car il fait souvent calme et ça lui permet de déambuler dans les rayons sans être bousculée et de regarder ce qui l’intéresse à son aise. C’est aussi à ce moment qu’il y a le plus d’homme seul dans ce genre de magasin et comme elle aime être matée, on dire que ça tombe plutôt bien d’autant plus que la tenue qu’elle porte aujourd’hui ne les laisse visiblement pas indifférent. Il faut bien avouer que la longueur de sa jupe moulante est très audacieuse et la profondeur de son décolleté attirant pour le regard des mâles. Elle remarque que beaucoup d’hommes se retournent sur son passage et la regarde jusqu'à ce qu’elle disparaisse au coin d’un présentoir. Il y en a même qui la suivent pour profiter de la vue plus longtemps mais cela ne la gêne pas, bien au contraire, on peut dire que ca l’excite. Pendant sa petite balade au fil des rayonnages, elle passe dans celui des chaussures. Sonia aime les chaussures et elle remarque une paire de botte avec de très haut talon qui lui plaise beaucoup. Elle cherche sa pointure et après avoir fouillé dans l’étalage désordonné, elle en trouve une. Elle s’assied sur le petit banc fixé à un pilier au milieu de l’allée et regarde autours d’elle. Elle remarque un homme d’une cinquantaine d’année en costume cravate qui l’observe à quelques mètres. Elle ne sait pas depuis combien de temps il est entrain de la regardée. En voyant que cette femme qu’il observe lève les yeux sur lui, il lui sourit sympathiquement. Sonia répond au sourire se cet inconnu par un large sourire elle aussi et décide de se laisser aller à ses penchant légèrement exhibitionniste. Elle se place parfaitement face à lui pour enfiler les bottes en prenant soin d’ouvrir suffisamment ses jambes pour que cet inconnu se rende compte qu’elle ne portait rien sous sa mini jupe et ainsi lui montré son sexe parfaitement épilé. Elle fait ce petit manège négligemment pendant que le type la découvre avec grand plaisir en s’approchant doucement d’elle. Quand Sonia a enfilé la deuxième botte, elle voit deux pieds planté devant elle alors elle lève les yeux et constate qu’il s’agit du gars du bout de l’allée. Il était là, planté devant elle en la regardant de haut. Il parait plus grand aux yeux de Sonia maintenant qu’il est près d’elle que tout à l’heure. Cette position lui donne un air de supériorité, de domination ce qui n’est pas vraiment pour déplaire à la jeune femme. Cet homme avait son sexe juste devant le nez de Sonia alors elle regarde autours d’elle si personne ne se profile à l’horizon puis lève doucement une main pour la posé par-dessus son pantalon sur le sexe raide de ce voyeur. Elle lève à nouveau le regard vers lui avec ses yeux de salope soumise. C’est ce moment qu’il choisit pour prendre la parole pour la première fois d’une voix grave et autoritaire :

- « Tu la veux conasse ? »
C’est de cette manière qu’elle aime qu’on lui parle et c’est ce genre de parole qui excite Sonia alors elle lui fait un signe « oui » de la tête avant de se lever en lui disant :

- « Il y a des cabine là bas. »
Le mec suit la jeune femme qui se dirige vers ces fameuses cabines d’essayages en matant son cul bien moulé dans une jupe qui lui arrive quand même au ras des fesses. Elle s’engouffre à l’intérieur de l’une d’entre elle et s’assied sur un petit tabouret dans un coin. Le mateur y entre à son tour et se plante devant Sonia sans rien dire en la laissant prendre les initiatives. Celle-ci pose une fois de plus sa main sur la queue de cet inconnu avant de détacher son pantalon pour en sortir une queue bien raide qu’elle se met à sucer immédiatement. Elle le pompe avidement en levant de temps en temps les yeux pour voir l’expression de son visage. Sa queue est vraiment raide et de petits bruits de succion rompent un silence imposé par une discrétion obligatoire. Le type ferme les yeux régulièrement ce qui témoigne de son plaisir. Sonia en profite pour sortir un préservatif de son sac et elle lui enfile avec dextérité en continuant ces caresses buccales pour être certaine qu’il ne débande pas. Cette précaution prise, la jeune femme se redresse et pose deux mains contre la paroi de la cabine en se cambrant bien en arrière. Sonia le sent venir placer son sexe à l’entrée de sa chatte puis d’un coup sec, il la pénètre en lâchant un petit souffle de plaisir discret. Il agrippe la jeune femme par les hanches et débute un mouvement de vas et vient qui se fait de plus en plus rapide au fils des secondes qui passent. Ils entendaient tout les deux passer les gens qui venaient essayer des vêtements sans se douter de ce qui se passait dans cette cabine. C’était encore plus excitant de savoir qu’ils peuvent être découverts à tout moment. La jeune femme espérait même que dans ce cas là, son inconnu baiseur ne s’arrêterait pas. Pour l’instant, il la pilonnait toujours vigoureusement mais elle voulait encore autre chose. Elle prend appuis d’une seule main en cherchant l’équilibre puis de l’autre, elle écarte une de ses fesses pour faire comprendre à ce mec qu’elle veut sa grosse queue dans son cul. Quand il voit ce petit manège, sans hésiter il se retire pour la fourrée brutalement dans le petit trou de la jeune femme. Les coups de rein étaient encore plus violent et Sonia devait se tenir à deux main pour amortir les choques et évité de se retrouver assommée sur la paroi de la cabine. Il la tient fermement et la défonce de plus en plus violement puis d’un coup, il se plante au fond du cul de la jeune femme pour jouir en soufflant très fort. Après s’être vidé les couilles, il se retire, enlève le préservatif, ajuste sa tenue puis quitte la minuscule pièce témoin de nos ébats sans lui dire le moindre mot. Sonia aime être traitée de la sorte, se sentir utilisée. Elle ajuste elle aussi sa tenue avant de faire maintenant réellement ses courses de ménage. Pendant l’après midi passé au boulot, elle repense souvent à cette baise dans une grande surface et elle se dit qu’il faudra remettre cela un de ces jours.